La culture du cresson alénois n’a rien à voir avec celle de son homonyme le bien connu cresson des fontaines.
– Le premier, celui que vous trouvez dans les paniers de l’AMAP, est une plante annuelle qui pousse dans un milieu « classique », sec. Celui là donne une tige haute de 20 à 50 cm dressée et rameuse.
– Le second au contraire est une plante vivace qui forme des pousses rampantes au fond de plans d’eau courante, puis des tiges creuses qui se dressent hors de l’eau à l’extrémité des rameaux.
Le cresson alénois est de la même famille que les choux, navets, radis, roquettes…
Il se déguste très bien en soupe, mais sa saveur piquante, aromatique et moutardée se prête bien aux mescluns ou pour relever vos plats. Il est d’ailleurs souvent utilisé comme condiment.
Le cresson alénois est riche en vitamine C et E ainsi qu’en calcium, en fer et en manganèse.