Archives de l’auteur : Agnès Kindt

La chicorée (frisée, scarole…)

Les chicorées sont de la même famille que les endives et les laitues (astéracées). En fonction des variétés, elles poussent en toutes saisons de la même manière que les laitues, mais leur saison de prédilection est l’automne.

Leur amertumes plus ou moins marquée selon les variétés et les conditions de croissance assure à vos plats un gout bien distinct.

 

 

 

 

 

De manière générale, on peut les cuisiner comme les endives.

  • Pour les consommer crues en salade (avec des croutons à l’ail et des lardons… miam !), les feuilles plus croquantes et épaisses doivent être coupées trés finement.
  • On peut aussi les faire braisées, en gratin, à la crème ou à la béchamel. Pour cette dernière recette, on les cuit à l’eau ou à la vapeur, on forme de petites bottes enroulées dans du jambon, on recouvre le tout d’une bonne béchamel et de fromage râpé.

Pour les conserver, le mieux est de faire comme les laitues : les laver à l’eau, les essorer et les placer au frigo dans un sac plastique ou un chiffon humide.

 

Bon appétit !

 

 

 

 

Avril 2019 : la saga des tomates, l’épuisement des stocks, le joli papillon, le nouveau tracteur…

Légumes à venir dans les paniers

Les stocks sont quasi vides, il ne reste que des betteraves rouges, quelques courges et des haricots secs. Les plus petits paniers de l’année arrivent. Ils seront composés :

  • de verdures diverses (laitues, roquette, cresson…)
  • de soupes réalisées par « Le Chenelet » (atelier de réinsertion prés de Calais qui propose cette prestation) avec les légumes abondants de l’été 2018.
  • De petits condiments frais (aillet, échalotes vertes, oignons frais…)
  • Et petit à petit, de petits légumes primeurs : petits pois, fèves, navets, brocolis, puis pommes de terre, carottes botte…

A partir de mi-Juin, l’arrivée des courgettes et autres légumes d’été permettront d’assurer de nouveau des paniers conséquents. On attend pas les tomates avant mi-juillet, mais vivement !!!

 

 

Ateliers divers d’hiver

En Février, nous avons retiré les bâches qui étaient restées tout l’hiver au sol. Tirées au tracteur, pliées, mises sur le côté du champs à l’huile de coude d’amapiens… *

 

 

 

 

 

Après 2h sous une météo clémente, le champs et les bâches réutilisables étaient prêts pour une nouvelle saison.  C’est un travail que je ne peux absolument pas faire toute seule. Un grand merci aux courageux qui sont venus m’aider ;-)!

 

 

 

 

 

 

 

En Mars, nous avons entretenu les constructions en bois de la ferme : le poulailler fixe, le poulailler mobile et l’abri de l’âne et du poney. Avec le coup de main efficace des enfants, on est repartis pleins d’huile de lin. Ca doit être bon pour la peau non ?!

 

 

 

 

 

Les tomates de la graine à la plantation en serre

 

Etape 1 : on est mi-février. Les graines sont posées sur une tablette isolée, sur un lit de 3cm de terreau. Sous le terreau, il y a un câble chauffant qui garde tout ça à 25°C. au dessus, un mini tunnel dans le tunnel en plastique vient parfaire l’isolation et garder l’humidité. Sur cette photo, elles sont au stade cotylédons : les deux premières feuilles qui sortent au moment de la germination.

 

 

 

 

 

Etape 2, un mois plus tard environ, dés que deux vraies feuilles sont apparues, les bébés tomates sont repiqués un par un dans les godets individuels plus grands. On les garde au chaud, 20°C.

 

 

 

 

 

 

Etape 3 : début Avril, les plants ont bien poussé. Ils sont acclimatés dans le grand tunnel pendant une semaine environ. S’il fait froid la nuit on peut toujours à ce stade mettre un voile pour les protéger.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Etape 4 : mi-Avril, c’est le grand saut. Les petits plants sont repiqués à leur place définitive. La préparation du terrain a été soignée : en novembre, un mélange de plante avaient été semé pour nourrir le sol et le garder vivant. Cette végétation dense a été broyée (photo) et incorporée en douceur en février, pour se transformer en nutriments.

 

 

 

 

 

 

L’atelier d’Avril a été consacré à installer les bâches, l’irrigation, les 500 ficelles et les grillages qui servent à palisser tomates, poivrons et aubergines.

Au pied de chaque tomate, on ajoute une petite poignée de granulés à base de plumes et d’algues pour parfaire la fertilisation.

Et voilà !!! Maintenant, On espère qu’il ne va pas faire trop froid jusqu’aux saintes glaces.  « ya plus qu’à » bien les tailler toutes les semaines, et les fruits devraient arriver !

 

 

 

Mars et Avril en Image dans les cultures !

 

 

Les stocks se sont vidés. Plus de carottes ou de pommes de terre dans le frigo, et plus de poireaux dans le champs. Cette année, on a quand même atteint un record avec ce poireaux géant de presque 2kg !!!

 

 

 

 

 

 

 

Autour de la planteuse à pommes de terre, on était nombreux. Cette machine ancienne n’en reste pas moins très efficace et pratique. En moins d’une heure et demi, avec Mathilde en stage, mon père, et deux petits neveux ravis de graviter autour et sur le tracteur, on a planté presque 100kg de plants. 18 rangs de 50m ! Ya plus qu’à attendre que ça pousse, avec s’il vous plait, une année pas trop sèche, mais pas trop humide non plus. Oui en agriculture, on n’est jamais content du temps 😉

 

 

 

 

 

Dans le champs, il y a les premières laitues et courgettes, des fèves et des petits pois, sous voile pour les protéger du froid, des lapins et des pigeons qui raffolent de ces jeunes pousses toutes tendres.

De beaux oignons et de belles échalottes sont aussi en place. Là, je prépare déjà les paniers de l’hiver prochain ;-).

 

 

 

 

 

 

Cette année je teste deux types d’oignons : en bulbilles- on plante un mini oignon qui donne un gros oignon- et en semis -on fait un plant d’oignon à partir de la graine, qu’on plante et qui donne un oignon. Il paraitrait que les oignons de semis c’est un peu plus de travail, mais le rendement est vraiment meilleur. A voir !

 

 

 

 

 

 

 

Dans la serre, c’est déjà presque rempli. Il y a :

  • – un tiers avec les légumes à protéines : pois et haricots à rame, fèves…
  • – un tiers avec les légumes d’été, tomates, poivrons, aubergines, concombres…
  • – un tiers avec les légumes primeurs (brocolis, carottes, betteraves, navets, pommes de terre, laitues, épinards…) et les plants de poireaux (photo ci-contre).

 

 

 

 

 

Les courges, potirons et potimarrons ont été semés. Il y a plus de 25 variétés prévues alors comme chaque année, petit casse-tête pour trier les paquets et faire les semis sans s’emmêler les pinceaux! Avec tout ça aussi, je prépare les paniers de l’hiver prochain.

 

 

 

 

Après deux ans à essayer de faire du plant de patates douces sans succès, j’ai fini par me décider à en acheter. Ci-contre l’essai infructueux de cette année : les morceaux n’ont pas du tout germé, mais pourri sur place… Grâce à un collègue qui a pris le taureau par les cornes, on s’est groupé et on a commandé 1000 plants (c’est très dur à trouver et ça ne se vend qu’en grande quantité!!!). J’espère qu’on va les recevoir !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Emerveillement ou simple fierté injustifiée, toujours est-il que je m’extasie un peu plus chaque année de l’évolution de la biodiversité sur le terrain. Dans la serre, on ne peut pas faire un pas sans voir un crapaud sauter. Quand on plante, on déterre toutes sortes de vers, carabes, et un microfaune dans le sol qu’on est pas toujours sur ce connaitre. On dérange les tritons quand on déplie les bâches et l’étang, bien que sa bâche soit en mauvais état, grouille de têtards de grenouilles ou de larves de libellules. On sauve les hérissons coincés dans le grillage du jardin et le fait d’habiter sur place me permet de répertorier encore mieux les espèces d’oiseaux qui occupent ou passent sur le terrain. Geai des chênes, pic-verts, accenteurs, mésanges en tous genres, moineaux, serins, rouge gorge, troglodytes, bergeronnettes…

 

 

 

Et pour la première fois cette année, j’ai vu un machaon adulte (voir photo) !!! J’avais déjà vu plusieurs fois sa chenille rigolote qui mange les feuilles des plantes de la famille de la carotte et arbore deux cornes oranges quand on a dérange (regardez sur Internet, c’est assez impressionnant), mais je n’avais jamais vu ce magnifique papillon coloré en vrai ! Très contente!!

 

 

TRACTEURRRRRR ?!

Je suis toujours en réflexion concernant l’achat d’un nouveau tracteur. J’ai trouvé LE modèle qui conviendrait !!! Les activités reprenant, ce n’est pas évident de s’atteler à la stratégie de financement sérieusement. Et puis les deux vieux coucous, les températures remontant se sont racheté une conduite. J’ai fait quelques mini travaux et ils ont l’air repartis. Pour l’instant. N’empêche que j’ai toujours l’intention de les changer. Si j’arrive à bien les revendre, quel confort de travail et quelle efficacité je vais gagner avec un tracteur qui démarre à tous les coups, qui est capable de porter plus de 500kg et qui ne perd pas d’huile à tout bout de champs (c’est le cas de le dire eheh).

 

 

 

J’en ai parlé autour de moi, ils ont encore de la valeur. Après tout ce ne sont pas des épaves, ils tournent tous les deux, c’est juste qu’ils ont besoin de quelqu’un qui s’y connait bien en mécanique pour faire les quelques travaux nécessaires à les remettre sur les rails. De mon côté, j’ai peur de trop attendre, et qu’ils finissent par avoir un problème que je ne suis pas capable de régler moi-même, et qui m’empêcherai de bien les revendre. Allé il faut que je prenne le temps m’occuper de ça avant l’été. Dans l’idée, sur les 22 000€ que coute ce joli petit tracteur, je voudrai avoir : 6000 ou 7000€ de la revente des tracteurs, 10 000 euros de prêt, et 5000 euros de financement participatif. Je vais donc certainement vous solliciter à ce sujet prochainement ;-).

 

 

 

 

 

 

Salsifis et scorsonères

Salsifis | Jujube en cuisineBien que très différents par leurs feuilles au champs, les salsifis et les scorsonères se ressemblent sur la forme de leurs racines qu’on consomme. Le gout, et donc la manière dont on cuisine ces dernières est vraiment similaire. Frais, ils n’ont rien à voir avec les salsifis en boite, souvent peu croquants et gorgés d’eau.

La peau est très fine donc on peut se passer de les éplucher, et tout simplement les brosser en les lavant, puis les cuire à la vapeur ou à l’eau et les éplucher ensuite (elle s’enlève alors très bien et on ne perd pas de matière…). Vous pouvez ensuite les accommoder à votre goût : froids en salade, revenus à la poêle avec une noisette de beurre, de la crème, du persil, de l’ail, de la muscade, en gratin avec une béchamel…
S’ils doivent attendre un peu avant la cuisson, plongez-les dans de l’eau froide citronnée, sinon ils vont rapidement s’oxyder, ce qui n’est pas grave en soit, mais pas très joli.
A noter : lorsqu’ils sont blessés, ils dégagent une substance collante qui tâche un peu les mains. Pour éviter cela, mettez des gants ;-)!
Bon appétit!
crédit photo  : https://www.jujube-en-cuisine.fr/comment-preparer-et-cuisiner-des-salsifis-frais/

 

Soupe au chou et au lard
Temps de préparation
20 min
Temps de cuisson
1 h
Temps total
1 h 20 min
 

Un plat d'hiver par excellence, qui contient tout ce dont on a besoin pour affronter le froid !

Type de plat: Soupe
Cuisine: Française
Portions: 6 personnes
Ingrédients
  • 1 chou pommé
  • 4 carottes
  • 5 pommes de terre
  • 2 navets
  • 3 saucisses fumées
  • sel, poivre thym, laurier, bouillon cube
Instructions
  1. Mettre de l'eau à bouillir et blanchir le chou préalablement taillé en lamelles pendant 3 minutes

  2. Eplucher et couper tous les légumes en petits morceaux

  3. Remplir une cocotte à moitié d'eau et y mettre tous les ingrédients.

  4. Laisser mijoter 1h, servir bien chaud 

Janvier 2019 : On ne s’ennuie pas même s’il neige ;-)

 

 

 

 

 

 

SUR LE TERRAIN : ENDIVES, POULAILLER MOBILE, TRACTEURS, IRRIGATION ET RONCES

Après de superbes vacances en famille en Auvergne pour Noel, j’ai commencé l’année avec un beau chantier de récolte d’endives. On avait une ligne de 50m à faire, on en a fait deux. En deux heures. Sachant que seule, je mets environ 4 heures pour une ligne. Un grand merci à la petite équipe, et à papa, pour le café ;-).

 

 

 

 

Deux semaines plus tard, voilà les endives « au forçage ». Ya plus qu’à attendre qu’elles poussent!

 

 

 

 

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Après deux petits mois de vide sanitaire, les poules ont pris leurs quartiers dans le poulailler mobile. C’est toute une histoire, car pour les changer de poulailler, il faut les prendre une par une, à la nuit tombée, pour les passer du perchoir du poulailler fixe au perchoir du poulailer mobile. Et il faut les remettre dans l’ordre, parce que les « chefs » tiennent à dormir en haut!!! Dans la hiérarchie des poules, ce qui est important, c’est de savoir qui va faire ses besoins sur qui pendant la nuit ;-).  C’était aussi l’occasion de les compter. Il y en a 100 tout pile ;-).

 

 

Le poulailler n’est pas loin du hangar alors j’ai décidé de profiter de la proximité de l’électricité pour y apporter quelques améliorations. Ben oui, pour souder, il faut de l’électricité ;-). Pour m’éviter de nombreux allers retours lors du déplacement de celui-ci, j’ai fabriqué :

  • Un marche-pied qu’on peut replier (à la place d’une caisse, c’est quand même plus propre!!),
  • Un support repliable pour la nouvelle cuve de récupération des eaux de pluie 350L achetée sur le bon coin (à la place d’un vieux tonneau qui fuit, des palettes et un support en alu complètement instable)
  • Deux béquilles bien adaptées pour caler le poulailler (à la place des palettes lourdes et pourries…)
  • Et surtout, un cadenas qui essayera de m’éviter un nouveau vol lorsque les poules retourneront dans la grande pâture. Bon c’est pas un coffre-fort, mais ceux qui ont fait ça sont forcément des fainéants alors j’espère que ça les dissuadera !! On va peut-être aussi mettre une alarme…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

AVANT

 

 

 

 

 

 

APRES

 

 

 

 

 

 

 

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Comme tous les hivers, mes tracteurs m’en font voir de toutes les couleurs… Veulent pas démarrer, font de drôles de bruits… J’en ai tellement eu marre en janvier de devoir retarder des travaux, ou de galérer avec mes brouettes dans la neige et la boue parce qu’aucun de ces messieurs ne voulait démarrer que je suis en train de faire des devis pour voir si je ne pourrai pas en acheter un nouveau !!! Les prix que j’ai pour l’instant sont importants (plus de 30 000€!!!), alors je ne sais pas si ça va pouvoir se faire. Le problème c’est qu’il n’existe plus beaucoup de modèle de ce type, compact et environ 60CV. On me propose soit du microtracteur jusqu’à 25cv et là, ce n’est pas assez puissant pour moi, soit une gamme à plus de 80cv, dans des gabarits trop gros, moins maniables, difficiles à manœuvrer dans les tunnels, et cher… Je cherche une solution, technique et financière. Trouver quelqu’un pour remettre les vieux en état ? Acheter un tracteur d’occasion plus récent, mais au risque de se retrouver dans la même situation dans quelques années ? Si je trouve un modèle neuf adapté à un prix raisonnable, faire un financement participatif ? Affaire à suivre…

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J’ai aussi entamé le travail pour installer un réseau d’irrigation enterré. Cette année sèche m’a définitivement décidée : je ne peux plus galérer avec des petits tuyaux qui fuient, qu’il faut déplacer sans arrêt pour aller irriguer les parcelles les plus éloignées.  A 300m de la pompe du forage, il n’y a plus de pression, donc non seulement je gaspille de l’eau avec les fuites, mais en plus c’est mal irrigué car je ne peux pas utiliser les asperseurs qui demandent trop de pression. Je suis en train de faire des devis pour faire une petite tranchée à 80cm voire 1m de profondeur et pour le matériel, à savoir 200m de tuyau PE + les raccords pour avoir une sortie pratique et efficace au bout de chaque parcelle. A suivre aussi.

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A côté de tout ça, je fais aussi du maraichage, oui, oui 😉 ! La saison démarre au calme dans la pépinière : les premiers semis ont été faits, à savoir les poivrons et les aubergines. Je les chouchoute : 25°C, arrosage régulier à l’eau tiède, surveillance des tables chauffantes nouvellement isolées (avec des chutes d’isolation de la maison).

 

 

 

 

Kiki surveille, à l’aise, comme d’habitude…

 

 

 

 

 

 

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A l’extérieur, ça travaille aussi. Et cette année, j’ai décidé de calmer les ardeurs des ronces qui prennent un peu trop d’aisance dans le parc du poulailler fixe. Le mot « bagarrer » se prête bien à la situation, et c’est moi qui ai gagné !! Je prend la résolution de le faire plus régulièrement à l’avenir 😉 !

(En photo : le tas de ronces qu’on a pris grand plaisir à bruler après avoir tant galérer pour les enlever !)

 

 

 

DANS LES PANIERS POUR LES DEUX MOIS A VENIR

 

 

 

 

 

Tout se passe bien dans les stocks.

  • Il y a encore pas mal de carottes, betteraves rouges, céleris, oignons, échalotes, courges, chou rave…
  • Les navets, c’est bientôt terminé, ainsi que les daikons… Encore une distribution.
  • Les choux pommés ont du mal à conserver, mais il en reste pour encore au moins une distribution.
  • Stock moyen de pommes de terre, encore un grosse distribution.
  • A l’extérieur, en terre, il y a encore beaucoup de poireaux, une ou deux distributions de choux de Bruxelles, une distribution de salsifis, une distribution de radis noirs et beaucoup de topinambours.
  • A l’intérieur, en terre, les petites verdures poussent doucement. Le manque de lumière et de chaleur font végéter la mâche, la roquette, les mescluns asiatiques (mizuna, naménia), le persil, l’ail frais… Ils vont arriver mais il faudra de la patience…
  • J’ai mis au chaud plusieurs séries successives d’échalottes vertes, ça, ça devrait arriver bientôt…

Et après tout ça, on commencera les distributions une semaine sur deux (à partir d’Avril). La belle saison est encore loin, mais les semis de poivrons et d’aubergines font rêver de ratatouilles ;-)!

En attendant, pourquoi pas une bonne soupe au chou ? Oui ? Cliquez là :

http://amapdelalys.org/blog/2019/02/1902/